A Paris au mois d'août Balayé par septembre Notre amour d'un été Tristement se démembre Et se meurt au passé J'avais beau m'y attendre Mon coeur vide de tout Ressemble à s'y méprendre De larmes et de rires
Et ta vie et ton sort Comme cet oiseau brûlé Qui renaît de ses cendres, Comme cet oiseau sacré Ressemble à s'y méprendre A ta vie, à ton sort, Depuis le temps qu'on crie ta mort. Comme cet oiseau maudit Par ceux qui disparaissent,