Pour ne jamais oublier J'écris ton nom sur le sable Qu'avec toi je suis capable D'voir la fin du sablier Dans cette forêt d'érables Où je passe mes journées Un coquillage adorable Me fait part de tes pensées Je grave ton nom sur un arbre

Les jours passent mais ça ne compte pas j'ai tant de mal à vivre Ivre de ce parfum si différent du tien, pire J'ai compté chaque minute qui me retient à elle Comme si j'étais mon propre prisonnier Ça fait bientôt un an qu'elle m'a sauvé, de toi Souvent

Les oiseaux dans les grands magasins Passereaux et piafs, enchaînent les gaffes S’amusent, s’amusent jusqu’au petit matin Les oiseaux qui restent coincés dans les grands magasins Que font-ils quand les foules ont déserté ? Ils attendent perchés que le

Passe amanhã e pegue o que é seu Você não sabe se vai ou vem Pouco me importa se o dinheiro é seu Ei baby se o cabelo é legal Moda na gringa é feliz natal Se equivocou mas ficou tudo bem Agora diz que está na onda zen Ei baby você venceu A maquiagem vai

Une fois arrivé, tu sais c'qu'il va se passer Si moi j'ai payé, c'est pas pour te regarder Tu te déshabilles pendant qu'j'roule un dernier joint D'abord masse-moi l'dos et ensuite j'm'occupe de toi T'as cru qu'on allait s'raconter nos vies jusqu’à quand?

On s'est laissé tomber Laissé tomber Et toi qui disais "va, c'est du passé" Malgré moi, tu m'attires, un peu comme un aimant Mais, toi, tu dis "je t'aime" comme un caméléon (Okay) on s'est promis des sentiments Je t'en voulais pendant des années Je

Nul ne saura te comprendre mieux que moi Donne-moi ma chance, tu verras Au pire, celui qui partage ta nuit Je saurai prendre soin de toi Laisse-moi être celui qui partage ta vie Passer quelques heures avec toi dans ce lit Laisse-moi ma chance, tu verras

Un bout de terre n'a jamais fait chez soi C'est le temps qui me l'a appris Quand je regarde, je trouve autour de moi Un nouveau sens à la patrie Je suis bien ici Loin des cauchemars de mon passé Loin de mon enfance Loin des rues en terre des quartiers

Tueurs, tueurs, tueurs (ba-ba-ba-bang, bang) (Tueurs, tueurs, tueurs) Et je pense Que si la vie ne m'donne pas tout c'que j'lui demande j'passerai par la violence Qu'importent les crimes, morts, victimes innocentes, dans la vie, chacun sa chance Dans

J'peux pas m'arrêter là, j'y pense depuis petit Les règlements de compte se font à toute heure On répond pas sur Twitter, on vient t'chercher directement chez ta tiper Personne qui passe aux aveux Une recharge de mille pour le shit, 400e pour la beuh 22,