Qu'est-ce qu'il faut faire Quand on ne sait rien faire? On devient un homme à tout faire On a les embêtements les plus divers On n'a jamais le temps de boire un verre Sans risquer de l'avaler de travers Tandis que Gaspard, c'est un pauvre noir Qui balaye

N’avoir peur de rien ni de personne Peu importe les moyens qu’on se donne Qui se met en travers du chemin Quand on veut arriver à ses fins Avancer droit devant peu importe contre qui ni comment Prêt à mordre et ne rien lâcher S’acharner à n’en pas

Inonder les ondes J'avais pas prévu d'y laisser mes os L'argent t'a fait dire "Mon Dieu, qu'il est beau!" Quand j'éternue, tout l'monde se dit "Qu'il est drôle!" A1, j'suis toujours le number one C'est moi, oui, c'est moi Y'a rien à ger-man et même le

De tes amants bien revenus Dans tes beaux habits neufs Tu devrais bien quand même Voir l'entrée ou alors Tu n'a sans doute rien compris Même si t'a quand même tout détruit Dans le pavillon nord Que t'avais redouté La grande sortie offerte Que tu m'avais

C'est la société De consolation (Société) consolation Qui consomme Sans modération Le cœur d'argile des fleurs qui flanchent Et qui travaillent même le dimanche Quand rien ne va Consolation

Il y a des jours comme ça où rien ne va Enfermé dans ton mal-être Quand les anges pleurent au bord de ta fenêtre A se torturer la tête Si l'espoir meurt, pourra-t-il renaître? Regarde-moi brûler, quand s'éteint la lumière Écoute-moi crier aux portes de

On n'oublie jamais rien, on vit avec On a plusieurs vies Mais une seule grande histoire de cœur Quand l'amour s'enfuit, Il n'y a jamais de vainqueur Si on pouvait tout refaire Balayer nos erreurs Per vivere il ricordo che ho di noi So che mi proteggero?

Nique la police nationale, nique le mondéo noir A 130 dans la ville donc la voiture vole, quand je prends les dos-d’ânes Il n’y a rien de marrant, si tu cries pas t’es pas rémunéré J’reviens plus chaud qu’avant, mais boumara me dit qu’c’est mort pour eux

T'en souviens-tu, la Seine Me revient la rengaine T'en souviens-tu comme ça me revient? De quand on avait rien De quand on avait pour tout bagages Tes deux quais pour m'y promener Tes deux quais pour y mieux rêver? Tu étais, tu étais mes voyages Et la

Il y a des jours comme ça où rien ne va Enfermé dans ton mal-être Quand les anges pleurent au bord de ta fenêtre A se torturer la tête Si l'espoir meurt, pourra-t-il renaître? Regarde-moi brûler, quand s'éteint la lumière Écoute-moi crier aux portes de