Tueurs, tueurs, tueurs (ba-ba-ba-bang, bang) (Tueurs, tueurs, tueurs) Et je pense Que si la vie ne m'donne pas tout c'que j'lui demande j'passerai par la violence Qu'importent les crimes, morts, victimes innocentes, dans la vie, chacun sa chance Dans

Tellement d’ennemis, tellement d’ennemis (saal) Ouais, j’n’écris que ce que je vis Parler, c’est penser tout bas (oui) Penser, c’est parler tout haut (oui) Sans être entendu, prends mon dû par le rendu Touchera sur ce que j’ai vendu Dans le bendo, bédo

La vie c’est comme de l’eau Qui coule d’une fontaine Mais elle n’a pas eu le temps de boire la sienne La petite Nathalie lointaine Quand je pense à toi Souvent je te revois Au bord de la mer avec tes cheveux collés Par le sel et le soleil de l’été Je

Camarão que dorme a onda leva Não pense que meu coração Hoje é dia da caça, amanhã do caçador Só não faça gato e sapato de mim Pois aquele que dá pão, também dá castigo Não pense que meu coração é de papel Não brinque com o meu interior Hoje é o dia da

Quoi que je fasse Où que je sois Rien ne t'efface Je pense à toi J'ai beau me dire Et quoi que j'apprenne Je ne sais pas Graver l'écorce Jusqu'à saigner

Nouveau litron, nouveau tampon, nouveau binks, nouvel arrivage Et ton équipe s'demande ce que la mienne manigance Mais elle ne va rien savoir Et mon regard en dit long, long, long sur ce que je pense Mes camarades ne sont pas très bavards (Hey, hey, hey)

Comme je l'imagine il pourrait même Etre celui qui sera l'homme que j'aime Comme je l'imagine il sourit d'un rien Comme je l'imagine il pense bien Comme je l'imagine il aime l'aurore Les matins d'hiver et la brume qui dort Où est-il ? Peut-être dans le

Et j'suis dans l'binks, j'visser j've-squi la hess Et j'suis dans l'binks, visser j'pense à la paye Et j'me réveille je chie j'vis pour vendre ce shit j'me lève au spliff Un train d'vie pas très passionnant et un peu casse couilles des fois Et j'suis

Oh hé oh hé oh hé oh oh Sans penser à demain Sans penser à demain Au fond de moi il y'a des hommes Qui se tiennent par la main Qui s'allongent et qui s'abandonnent Et font l'amour sans fin Au fond de moi il y'a des routes Des creux et des ravins

Ah le monde change, le monde change Et tu crois que la dernière prise Ah oui je sais qu'un jour Soulage ton cœur, soulage ton âme Je pense bien que le monde est calculé Je pense bien que tout est encadré Que nos pensées sont tracées dans l'air auparavant