Elle disait que vivre était cruel C'était l'hiver dans le fond de son cœur Elle a sûrement rejoint le ciel Elle brille à côté du soleil Comme les nouvelles églises Mais si depuis ce soir-là je pleure C'est qu'il fait froid dans le fond de mon cœur Elle

why en a qu'une comme toi, see'est toi Toi et non pas une autre Mais d'une autre see'est le ciel clair de tes yeux Qui les gêne Mais que j'aime tellement Et mon teint brun dans tes yeux Ca dérange, mais tu l'aimes tellement

Universelle solitude Dans nos bulles On se sent si bien seul ensemble Qui nous retient tout seul ensemble Sans jamais partir à l'aventure À l'aventure Universelle Tellement de noms, tellement de visages

La vie c’est comme de l’eau Qui coule d’une fontaine Mais elle n’a pas eu le temps de boire la sienne La petite Nathalie lointaine Quand je pense à toi Souvent je te revois Au bord de la mer avec tes cheveux collés Par le sel et le soleil de l’été Je

Mon père, il était ingénieur Ma mère ne faisait rien C’était une petite vie tranquille Et moi, j’étais un garçon bien Mais lorsqu'un jour je t’ai connue Et ce jour, il est tellement loin Moi, j’ai voulu vivre ma vie Et j’ai perdu ma vie pour rien Les

Dieu! Mais que Marianne était jolie En chantant à pleine voix En criant dessus les toits Quand elle marchait dans les rues de Paris "Ça ira, ça ira, toute la vie" Marianne a cinq enfants Dieu! Mais que Marianne était jolie Quand elle embrasait le cœur de

Pour la fille du motel C'est vraiment pas Noël Elle aimerait avoir le temps De leur parler un moment S'évader vers l'irréel Oublier la fille du motel Le jour se lève Un matin banal Un soleil tout pâle, un samedi en hiver

Ma chanson comme elle est jolie à cause d'elle Le sucré de la mélodie ça vient d'elle C'est ma main dans ses cheveux qui vous enchante Sa bouche avec les baisers que je vous chante Dans mon air Il y a les miroirs que sont leurs beaux yeux clairs Leurs

Bientôt, bientôt, Donne-moi ta main, camarade Toi qui viens d'un pays Où les hommes sont beaux J'ai cinq doigts, moi aussi On peut se croire égaux Regarde là, ma ville Elle s'appelle Bidon Bidon, Bidon, Bidonville

Du fossoyeur, cent fois coupable Au joueur d'orgue inconsolable Tous m'accablent et me crient Laisse-la fuir Tellement fort Je te veux tellement fort Nos pères ont plutôt bien vécu Leurs filles ne supportent plus