Lyrics
Quand les anges se promènent
Dans les airs au cœur de mai
Transpercés de flèches, ils saignent
Goutte à goutte sur le plancher
Tu n’as aucune considération
Le toit coule dans la pièce
Où jamais, jamais ne dort
J’ai attendu une demie heure, au restaurant
Cet ami qui peut-être
Peut-être est déjà mort
Je ne savais plus où me mettre
Il marchera dans la nuit, cet ami
Cet ami du paradis,
Tu ne respectes aucune règle,
Jusqu’à ce que cessent ses tourments,
On ne sait où ni comment,
Tu n’as aucune espèce d’idée de ce que je vis,
Et s’il s’empêche toujours de dire,
De dire ce qu’il pense,
J’ai des engagements, excuse-moi,
C’est qu’il ne voudrait jamais juger,
Jamais juger trop avant,
Je dois faire des choix,
Que la fin ne justifie les moyens,
Que la fin ne justifie les moyens,
Tu ne peux pas tout avoir,
Encore une lettre à Tangerine,
Pendant que la nuit chemine,
Et que ressortent les grands maigres,
Et les jeunes filles en farine,
Mon dieu que j’ai peur à présent,
Se dit soudain le prisonnier, enfermé,
Prescrivez-moi d’autres pilules,
Avant qu’arrive une autre nuit,
Rien pour mon mal n’existe plus,
Qu’on puisse trouver en pharmacie,
Il faut que tu te décides tout de suite,
Qu’on puisse trouver en pharmacie,
Aucune considération,
Quand les anges se délaissent,
C’est toujours à cause de l’hiver,
J’ai attendu une demie heure, au restaurant,
Le froid endurci les cœurs,
Au moment où viennent les courants d’air,
Je ne savais plus où me mettre,
Quand les anges deviennent soudain,
Des statues de pierre
Tu ne respectes aucune règle,
À quoi bon les billes en verre
Quand les anges se remettent au verre,
Tu n’as aucune espèce d’idée de ce que je vis,
Que la peur du lendemain,
Ne nous fasse jamais incertain,
Pour avoir nos pieds et nos mains,
À la face bandit de chemin,
Rien ne sert de courir à point,
De se faire ennemi des chiens,
Compagnons de bonne fortune,
Il faudra sonate à la lune.
Tu ne peux pas tout avoir,
Il faut que tu te décides tout de suite
Comment