Quand j'étais chanteur Ma pauvre Cécile J'ai soixante-treize ans Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini J'comprends plus grand'chose, aujourd'hui Mais j'entends quand même des choses que j'aime Et ça distrait ma vie J'ai mon rhumatisme Qui devient

Je n'aurais jamais cru aimer ainsi Je prends le temps Rien ne me blesse Être surpris Par ton sourire Ni jamais cru sentir Le froid, le vide Lorsque ton rire

Tel est mon destin Je vais mon chemin Au rythme entêtant des battements de mon cœur Ainsi passent mes heures Je vais les routes et je vais les frontières Je sens, j'écoute, et j'apprends, je vois Le temps s'égoutte au long des fuseaux horaires Je prends,

Quand j'étais chanteur Ma pauvre Cécile J'ai soixante-treize ans Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini J'comprends plus grand'chose, aujourd'hui Mais j'entends quand même des choses que j'aime Et ça distrait ma vie J'ai mon rhumatisme Qui devient

Tel est mon destin Je vais mon chemin Au rythme entêtant des battements de mon cœur Ainsi passent mes heures Je vais les routes et je vais les frontières Je sens, j'écoute, et j'apprends, je vois Le temps s'égoutte au long des fuseaux horaires Je prends,