Merci d'être Non c'est pas les hommes qui mènent le monde Ce qu'on ne sera jamais Et pourtant on se croit parfait Ce qu'on ne fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Qui force le pardon Car c'est pas les

Overcom-com-com-com-com Où nous n'avons jamais demandé Le monde à la seconde La merde sur les ondes Devons nous encore avaler Cette vie de faconde Prenons le temps de raviver Les nuances moribondes

Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio La couleur du ciel le long du Corcovado Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport Tu t'es retournée pour me

Je n'oublierai pas pourtant je n'y suis jamais allé Non, je n'oublierai jamais la baie de Rio La couleur du ciel le long du Corcovado Non, je n'oublierai pas la douceur de ton corps Dans le taxi qui nous conduisait à l'aéroport Tu t'es retournée pour me

Elle va tout assumer Cours ma lionne Fort caractère, elle sait dire non Elle dit jamais sont dernier mot Elle agit, elle ne parle pas, lionne affamée Si tu lui donnes la misère du monde Si tu lui donnes la richesse d'un homme

La plus belle fille de la prison. On est roi ou bien vaurien, Et si on veut tenter le destin, On se bat comme des chiens, Et parfois ça ne finit pas très bien. Je ne serai jamais plus non, Un bandit pleurait un soir, Sa copine dans le noir, Nous nous

Non je ne connais pas l'afrique Aigrie est ma couleur de peau La vie est une machine à fric Où les affreux non pas d'afro Quand je te revois mama sam Je retrouve les vraies valeurs Un si grand cœur une si belle âme Qui ne se soucie jamais de l'heure

Je n'ai pas besoin, non pas besoin de toi Fuis moi, je ne te suivrai jamais jamais Jamais non jamais Jamais jamais Oh non non non, oh non non Elles étaient toutes jalouses Mais tu es un vrai loser Je suis loin d’être amoureuse