Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé ! Matelot, Matelot navigue sur les flots Il était un petit navire (bis) Qui n'avait ja- ja- jamais navigué (bis) Il partit pour un long voyage (bis) Sur la mer Mé- Mé- Méditerranée (bis) Au bout de cinq à six semaines,

Je t'ai donné du love même sans dire je t'aime Tu n'as jamais autant reçu d'amour de l'homme Est-ce si important que tout le monde soit au courant pour nous deux? Sans même avoir besoin d'ouvrir la bouche Comme quand on est tous les deux, seuls dans la

Toi et moi, ça sera jamais pareil Je perds du temps, et je perds des sous J'ai peur de nous, de nous Tout le monde me parle mais je fais le sourd Tu me rends fou, jaloux Tout ce temps, j'ai perdu des sous J'ai peur pour vous, pour vous Homme et femme, ça

Adios, adios, adios Mec, marie-toi avec ta mère. Tes potes, ta musique! Et qui a le meilleur derrière? Moi je te laisse réfléchir. Laisse-moi tranquille Ciao je file! OK, je ne t'ai jamais aimé, est-ce de ta faute? Je ne sais pas.

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai À la claire fontaine M'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné Sous les feuilles d'un chêne Je me suis fait sécher Sur la plus haute branche Un rossignol chantait

Je reste ton ami Je n't'ai jamais tourné le dos Tout c'que les gens disent sur moi est faux Jamais jamais Oh oh oh oh oh Tu sais qui je suis Mais n'oublie jamais qui je suis On a tous les deux nos torts Mais notre amitié vaut de l'or

Merci d'être Non c'est pas les hommes qui mènent le monde Ce qu'on ne sera jamais Et pourtant on se croit parfait Ce qu'on ne fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Qui force le pardon Car c'est pas les

Gaston y'a l'téléfon qui son' Et y'a jamais person' qui y répond Bernadette, elle est très chouette Et sa cousine, elle est divine Mais son cousin il est malsain Je dirais même que c'est un bon à rien. Noémie est très jolie

Je veux dédier ce poème À toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets À celles qu'on connaît à peine Et qu'un destin différent entraîne Et qu'on ne retrouve jamais À celles qu'on voit apparaître Une seconde à sa fenêtre Et qui,

Rakutaku, Dadju, Dadju J'ai déjà trouvé, ce que tu donnes je l'ai déjà trouvé J'ai déjà trouvé, mon amour je l'ai déjà trouvé Je te dis bye-bye-bye-bye Je m'en vais, ne m'attends pas-pas-pas-pas Jamais de la vie, tu m'auras Quand je serai célibataire, tu