Dis-lui de revenir Je l'attendrai toute la saison Comme ça sans raison Que l'été va venir Que je suis toute seule à la maison Qu'il fait bon dehors Les cigales de l'été Vont bientôt s'arrêter Et tout appelle à l'amour Que l'été va mourir

En dehors de la scèn-èn-ène (Why, why, why) J'ai si peur d'être pè-è-ère De voir l'enfer vu du cie-e-el De mes défauts qu'elle s'impré-é-égne Qu'elle n'éteigne jamais la tei-ei-eigne Qu'elle m'aime et me follo-o-ow Qu'elle m'aime pour ce que je

La vie c’est comme de l’eau Qui coule d’une fontaine Mais elle n’a pas eu le temps de boire la sienne La petite Nathalie lointaine Quand je pense à toi Souvent je te revois Au bord de la mer avec tes cheveux collés Par le sel et le soleil de l’été Je

Au clair de la lune, Mon ami Pierrot, Prête-moi ta plume Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, Je n'ai plus de feu ; Ouvre-moi ta porte, Pour l'amour de Dieu. Pierrot répondit :

Elle veut pas donner son Snapchat Son Snapchat Eh la miss tu veux sortir de la crise Eh la miss tu veux sortir de la crise, j'ai capté ton vice (Elle m'a pas donné son Snapchat) Elle m'a pas donné son Snapchat Ce soir, va falloir que j'l'épate J'l'ai

Qui faisait cornac dans un cirque Et traduisait Pétrarque, en turc, à Dunkerque À Porto Rico À Campo-Formio Et puis chez un Monsieur de Zanzibar Qui s'appelle Milton Édouard À Gallipoli, aux États-Unis Il y a longtemps déjà Que j'ai pas vu mon copain

Je n'veux plus de toi, je n'veux plus de toi Avec de l'autotune ça passera p't-être mieux Elle veut maison, enfants, mais j'suis là que pour faire du sale Mais je n'ose pas lui dire, je n'veux pas faire de peine Et si j'lui disais tout c'que je ressens

Les jours passent mais ça ne compte pas j'ai tant de mal à vivre Ivre de ce parfum si différent du tien, pire J'ai compté chaque minute qui me retient à elle Comme si j'étais mon propre prisonnier Ça fait bientôt un an qu'elle m'a sauvé, de toi Souvent

Pourquoi ces rivières Soudain sur les joues qui coulent Dans la fourmilière C'est l'Ultra Moderne Solitude Des fois on sait pas bien c'qui s'passe Ça s'passe boul'vard Haussman à cinq heures Elle sent venir une larme de son cœur D'un revers de la main

Oh Kin la belle Tu ne sais pas combien je t'aime RDC, ma patrie, mes gènes Pour toi j'suis resté le même Ce qu'ils te font me fait beaucoup de peine Jusqu'à ta mort il ne faut pas que tu les craignes J'kalasherai ceux qui tiennent les rênes Pour toi