Midi, minuit, midi, minuit Deux trous sur l'bonnet: une cagoule Gamos toute l'année, j'trouve ça cool J'suis trop perturbé à la school Mademoiselle la prof, j'veux des sous Dans la compét' comme à Philly Impossible de me faufiler Rarement à l'heure comme

La plus belle chose que j’ai laissée T’es la plus belle chose que j’ai laissée Jolie, ma jolie Pourquoi tu parais déçue? Jolie, oh ma jolie Tes rêves, que sont-ils devenus? Souviens-toi de nos jeux Souviens-toi de nos rires Et de ces promesses

Yalla yalla Elle m'emmène avec elle Yalla yalla Je t'emmène avec moi, yalla Dans le coeur des enfants On ne retient pas l'écume Dans le creux de sa main On sait la vie se consume Et il n'en reste rien

Qui faisait cornac dans un cirque Et traduisait Pétrarque, en turc, à Dunkerque À Porto Rico À Campo-Formio Et puis chez un Monsieur de Zanzibar Qui s'appelle Milton Édouard À Gallipoli, aux États-Unis Il y a longtemps déjà Que j'ai pas vu mon copain

Je n'veux plus de toi, je n'veux plus de toi Avec de l'autotune ça passera p't-être mieux Elle veut maison, enfants, mais j'suis là que pour faire du sale Mais je n'ose pas lui dire, je n'veux pas faire de peine Et si j'lui disais tout c'que je ressens

Elle n'a pas eu de chance, quand on y pense, dans l'existence Sa vie fut pathétique, problématique, pathologique Cela devait commencer Lors de son baptême Car sa tante d'Angoulême S'appelait Zoé! On la nomma donc Justine Pauvre gamine On avait dans cette

La plus belle fille de la prison. On est roi ou bien vaurien, Et si on veut tenter le destin, On se bat comme des chiens, Et parfois ça ne finit pas très bien. Je ne serai jamais plus non, Un bandit pleurait un soir, Sa copine dans le noir, Nous nous

Roulis, tangages En mer, au large le vent est malhonnête Il fait perdre la tête Adieu, adieu Sur le car-ferry De Portsmouth à Ouistreham Les passagères ont du charme Le vent s'est levé sur le pont du St Michel Quand elle est passée sur la passerelle

C'est un mirage, un paysage Que tout le monde rêve de voir Mais la liberté reste une terre sauvage À 20 ans on veut s'en aller, Et découvrir notre liberté oui, Et se poser là sur une terre Qui pourtant reste imaginaire On veut croire qu'elle n'est pas si

Alcina de jésus ALCINA DE JESUS Son pays c’est tellement loin Au bout du continent Et pourtant ce n’est qu’une enfant Mais elle a du partir Elle travaille chez des gens très gentils Elle s’occupe de leur bébé joli Pendant que là-bas c’est le printemps